Il y a 5 ans, une bonne-fĂ©e mâinitiait aux joies du copywriting. Aujourdâhui encore, je considĂšre ce stage comme lâexpĂ©rience professionnelle qui a Ă©tĂ© la plus dĂ©terminante pour la suite de mon parcours. Mais Ă mon dĂ©part, elle mâannonce que ces postes sont trĂšs rares chez lâannonceur et assez Ă©litistes en agence. Jâavais Ă peine effleurĂ© un mĂ©tier qui mâintĂ©ressait (enfin !) quâon mâannonçait que câĂ©tait peut-ĂȘtre dĂ©jĂ la fin.
Trois ans et quelques dĂ©missions plus tard, lâappel de la plume revenait Ă moi par le plus grand des hasards. Pour une mission freelance cette fois-ci. Puis une seconde dans la foulĂ©e. Et mĂȘme une troisiĂšme⊠qui dĂ©bouchera sur un CDI en start-up : chez comet, oĂč je travaille toujours en tant que Copywriter.
Je me souviens encore de mon appel avec Charles Thomas, Ă lâĂ©poque CEO dâune Ă©quipe dâune dizaine de personnes : âNous avons un message, des idĂ©es et une vision propre que nous voulons diffuser au plus grand nombre. Ce que nous nâavons pas, câest une plume qui saurait lâexprimer clairement et simplement par les motsâ. Jâai depuis eu lâoccasion de rencontrer des entrepreneurs ou Ă©quipes qui ne savaient ni quand ni comment intĂ©grer la crĂ©ation de contenu Ă leur stratĂ©gie.
Il existait donc une rĂ©elle demande pour des plumes, mais celle-ci Ă©tait cachĂ©e, souterraine. Il fallait juste rencontrer la bonne personne, avoir le coup de chance, au bon moment. Et câest prĂ©cisĂ©ment la raison pour laquelle jâai choisi de lancer cette newsletter : ne plus laisser au hasard lâopportunitĂ© de vivre de sa plume.
Alors que le freelancing soit pour vous un passage ou une destination, que vous Ă©criviez Ă plein temps ou juste par moment, toute la journĂ©e au bureau ou depuis chez vous quand la nuit tombe, que vous soyez experts ou dĂ©butants, vous ĂȘtes les bienvenus. Car aujourdâhui plus que jamais, les plumes comptent pas pour des prunes.
Bonne lecture Ă toutes et Ă tous,
Benjamin
Plumes With Attitude est une newsletter sur lâĂ©criture sous toutes ses formes. Si vous avez envie de suivre cette publication, abonnez-vous pour recevoir les prochaines Ă©ditions.
đź LâINTERVIEW⊠Anne-Laure Le Cunff, fondatrice de Ness Labs
Ă chaque newsletter, je vous propose de dĂ©couvrir le portrait et les idĂ©es dâune vĂ©ritable plume âWith Attitudeâ. Jâai dĂ©jĂ des noms en tĂȘte pour les prochaines Ă©ditions, mais toute recommandation est bien entendu la bienvenue. Anne-Laure est une indie maker dâexception. En 2017, elle quitte Google pour crĂ©er Ness Labs, un studio pluridisciplinaire axĂ© sur la crĂ©ativitĂ© et le bien-ĂȘtre psychique. Elle vit Ă Londres et Ă©tudie en parallĂšle Ă King's College pour obtenir son MSc en neuroscience. Je suis trĂšs fan de sa nouvelle newsletter Maker Mind, qui est une vĂ©ritable mine dâor pour freelances et makers. Ăa fait aussi quelques annĂ©es que je suis son (hyper ?) activitĂ© sur Twitter ou Product Hunt. Autant vous dire que jâavais plein de questions pour elle et que jâavais trĂšs hĂąte de sortir cette premiĂšre interview !
Salut Anne-Laure et merci beaucoup dâavoir rĂ©pondu Ă lâinvitation ! Je suis trĂšs curieux dâen savoir plus sur ton activitĂ©. Tu te dĂ©cris comme une âindie makerâ. J'aurais aimĂ© savoir quelle diffĂ©rence tu fais entre ce terme et celui de freelance ?
Pour moi, un freelance fournit un service Ă un client. Ătre indie maker implique de construire son propre produit. Mais dans les faits, il est assez commun de faire les deux. Par exemple, certains freelances deviennent indie makers pour automatiser leur activitĂ© ou rĂ©soudre un problĂšme rĂ©current rencontrĂ© par leurs clients.
Tu considÚres donc les indie makers comme une sorte d'évolution du freelancing ?
Pas nĂ©cessairement. Les indie makers partagent avant tout une culture et une philosophie, qui sont dâailleurs loin dâĂȘtre incompatibles avec les codes du freelancing. Je connais un couple de makers nomades qui ont une activitĂ© de freelance la moitiĂ© de lâannĂ©e, puis consacrent six mois entiers au dĂ©veloppement de leur produit. Leur objectif, câest de rĂ©duire au fil des ans le nombre de mois de freelancing pour pouvoir vivre de leur projet.Â
Câest marrant, ça me fait penser au mouvement des âzĂšbresâ : ces start-ups comme MailChimp ou Basecamp qui se sont affranchies des investisseurs traditionnels pour grandir.
Câest un mouvement que je trouve passionnant, et qui est selon moi trĂšs en avance sur son temps. Et câest vrai quâil y a des racines communes avec les indie makers, comme la recherche de lâindĂ©pendance financiĂšre. La grande diffĂ©rence est que ces derniers aspirent souvent Ă garder leur entreprise Ă une taille trĂšs rĂ©duite. Beaucoup prĂ©fĂšrent mĂȘme rester solo et travailler avec des freelances ou start-ups en fonction de leurs projets du moment. Câest ce que je fais avec Ness Labs.
Parmi tes diffĂ©rents projets, jâai Ă©tĂ© particuliĂšrement marquĂ© par Make & Shine : un livre sur le personal branding Ă destination des makers. Qu'est ce qui tâa poussĂ© Ă te lancer dans ce projet d'Ă©criture ?
Comme je travaillais auparavant en marketing chez Google, on me demandait souvent mon avis sur le rendu visuel dâune landing page, sur du copywriting ou encore sur la pertinence dâune stratĂ©gie social media. Ă force dâentendre les mĂȘmes questions revenir trĂšs souvent, jâai pensĂ© que la meilleure solution serait de compiler toutes mes recommandations en un guide. Et au vu de son succĂšs, je me suis rendu compte que ce nâĂ©tait pas du tout un sujet de niche comme je me lâĂ©tais imaginĂ©.
De ton cÎté, tu as toujours été trÚs active sur les réseaux sociaux. Tu peux nous en dire plus sur ton approche ?
Twitter est en quelque sorte mon âatelier publicâ : je tweete mes avancĂ©es sur mes projets, je partage mes lectures, je pose des questions et rĂ©ponds Ă dâautres. Je discute aussi en DM mais prĂ©fĂšre poursuivre la conversation sur Telegram. Si Twitter est comme un atelier pour moi, Telegram câest mon salon. Câest comme un espace oĂč je me sens Ă lâaise pour avoir des discussions profondes et sincĂšres avec des invitĂ©s que je reçois. Et enfin, il y a Product Hunt qui est comme ma TV : câest une toile de fond pour me tenir informĂ©e de lâactu entrepreneuriale et des derniĂšres tendances produit.
Jâimagine que tu appartiens Ă de nombreuses communautĂ©s de makers. Tu peux me dire ce que ça a pu tâapporter jusquâici ?
Je suis convaincue quâĂȘtre disponible pour les autres finit invariablement par payer. Jâai toujours eu mes DM ouverts sur Twitter et mon e-mail est en accĂšs libre. Quand je compare les quelques spams et messages douteux que jâai pu recevoir aux rencontres incroyables que ça mâa permis de faire, je me dis que les avantages dĂ©passent largement les inconvĂ©nients. Sans oublier que mon activitĂ© sur les rĂ©seaux sociaux sâest plusieurs fois soldĂ©e en opportunitĂ©s business.
Tu accepterais de mâen dire plus sur un exemple business concret ?
Je pense que ça a largement contribuĂ© au succĂšs de mon livre. Jâai choisi dâĂ©crire Make & Shine de maniĂšre trĂšs ouverte, en sollicitant rĂ©guliĂšrement des makers pour des questions, avis et mĂȘme pour choisir le design de la couverture. Si bien quâau moment de sa publication, ce nâĂ©tait plus mon livre mais celui de la communautĂ©. Et je suis convaincue quâil nâaurait pas eu le mĂȘme succĂšs si je nâavais pas choisi ce mode dâĂ©criture.
Quel est ton meilleur conseil pour les freelances qui liront cette interview ?
Ne vous cachez pas derriĂšre vos crĂ©ations. Votre plus grande force, câest cette passion qui vous a fait quitter votre job pour travailler sur ce que vous aimez. Autre chose : je trouve ça dommage de voir de nombreux freelances reproduire des codes empruntĂ©s Ă lâunivers de la tech plutĂŽt que de mettre en avant leur authenticitĂ©. Vous avez forcĂ©ment une belle histoire Ă raconter, alors ne vous en privez pas.
Justement, quand je vois le succĂšs dâoutils comme Patreon, Substack et Anchor (rachetĂ© par Spotify en dĂ©but dâannĂ©e), jâai lâimpression que la technologie est plus que jamais au service des makers. Penses-tu que câest un simple effet de mode ou un mouvement qui est lĂ pour rester ?
Je pense et j'espĂšre que ces nouvelles formes de contenu distribuĂ© sont lĂ pour durer. Aujourdâhui, on a lâimpression que le choix conscient de ce quâon lit, ce quâon regarde, nous Ă©chappe. DâoĂč cette volontĂ© de redevenir maĂźtre de son expĂ©rience en ligne, loin des algorithmes. Reprendre le contrĂŽle de son temps ânotamment devant un Ă©cran â fait que la recherche de la qualitĂ© va primer sur la quantitĂ©. Câest pourquoi jâassocie cette tendance Ă tout ce qui se crĂ©e autour du mouvement âmindfulnessâ. Il y a aussi ce dĂ©sir dâaccĂ©der Ă du contenu indĂ©pendant de niche pour pouvoir se dĂ©marquer des publications de masse. Par contre, je ne pense pas que les vidĂ©os de chats vont disparaĂźtre si vite. Et câest tant mieux, car elles sont aussi trĂšs importantes pour notre Ă©quilibre mental. (rires)
Hors vidéos de chats, comment organises-tu ta veille en ligne ?
DĂ©jĂ , il y a aujourdâhui plein dâoutils pour tâaider. Par exemple, Unreadit mâenvoie chaque semaine le meilleur de Reddit par e-mail. Câest une approche plus saine vu que je perds beaucoup moins de temps sur la plateforme. MĂȘme chose pour Threader, qui regroupe les meilleurs threads postĂ©s sur Twitter. Comme ils ont Ă©tĂ© créés par des makers, ces outils sont Ă lâopposĂ© des business models des plateformes qui essayent de retenir lâutilisateur sur leur feed Ă tout prix. Mais lâun des meilleurs moyens que jâai trouvĂ©s pour organiser ma veille, câest tout simplement dâĂ©crire. Cela me permet de choisir un sujet que je veux approfondir, dâidentifier les experts dans ce domaine et aussi de mieux mĂ©moriser ce que je lis.
Et pour lâĂ©criture, tu as des outils Ă recommander ?
Il y a lâapplication Blurt, qui est un environnement de travail unique pour se concentrer et tenir ses objectifs dâĂ©criture, loin des distractions. Jâaime aussi beaucoup 200wordsaday qui est une plateforme communautaire pour dĂ©velopper lâhabitude dâĂ©crire au quotidien.
Quel est ton rapport Ă lâĂ©criture ? Tu considĂšres ça comme un moyen de parvenir Ă tes objectifs ou une finalitĂ© ?
PlutĂŽt une finalitĂ© car j'ai toujours toujours aimĂ© Ă©crire. Quand j'Ă©tais petite, je voulais ĂȘtre soit palĂ©ontologue soit Ă©crivaine. Câest pour ça que jâai fini en Ă©cole de commerce (rires). Plus sĂ©rieusement, c'est l'une des rares choses capable de me faire oublier mes problĂšmes et de garder le flow. Mais en relançant mon blog rĂ©cemment, jâai pris conscience quâil y avait des opportunitĂ©s business Ă creuser pour monĂ©tiser cette passion.
Dâailleurs, qui sont tes auteurs de rĂ©fĂ©rence ?
Baudelaire depuis que je suis adolescente, les deux Murakami [Haruki Murakami et Murakami RyĆ«]. Jâadore L'Insoutenable LĂ©gĂšretĂ© de l'Ătre, de Milan Kundera. Mon livre prĂ©fĂ©rĂ© de non-fiction, câest How to Change your Mind, de Michael Pollan. Il tâexplique vraiment comment fonctionne ton cerveau, en plus de retracer toute l'histoire du LSD et des psychotropes depuis les annĂ©es 60.Â
Et pour finir, quel est le meilleur article que tu as lu récemment ?
J'adore la nouvelle sĂ©rie de Wait But Why, "The Story of Us". Jâadore la façon unique dont Tim Urban mĂ©lange mots et illustrations, science et philosophie, sujets complexes et ton lĂ©ger. Câest probablement le blogueur que j'admire le plus.
Amen.
Ma petite sĂ©lection dâarticle Ă©crits par Anne-Laure :
đ MISSIONS FREELANCES⊠âQuoi de prĂ©vu pour demain ?â
Vous les attendiez, les voilà : découvrez le premier batch de start-ups choisies avec soin pour vos belles plumes.
Spendesk (100+ employĂ©s) â La plateforme de gestion de dĂ©penses en entreprise recherche de nouvelles plumes pour des sujets workplace et finances | Contact
Virgil (- de 10 employĂ©s) â La start-up immobiliĂšre qui veut ouvrir lâaccĂšs Ă la propriĂ©tĂ© cherche ses premiers contributeurs adeptes de fintech et proptech | Contact
AmĂ©dĂ©e (solopreneur) â Qui mieux que des freelances pour devenir contributeurs du blog de rĂ©fĂ©rence du bon gĂ©nie des indĂ©pendants ? | Contact
Shine (40+ employĂ©s) â Lâassistant personnel des freelances recherche une plume capable de rendre lâadministratif sexy dans des guides et fiches techniques | Contact
Elevo (- de 10 employĂ©s) â La plateforme de feedback incubĂ©e Ă Station F a besoin de plumes adeptes de formats courts pour alimenter son centre de ressources | Contact
Mansa (- de 10 employĂ©s) â La nouvelle plateforme de crĂ©dit pour freelances a besoin de plumes pour Ă©crire des articles sur lâĂ©conomie | Contact
Toucan Toco (80+ employĂ©s) â Le leader en data storytelling propose un contrat flexible (1,5 Ă 3j/semaine) entre rĂ©daction, stratĂ©gie et social media | Offre | Contact
Pour poster une mission dans la prochaine newsletter, écrivez-moi. à noter que je me réserve le droit de publier (ou non) les offres reçues, et ce afin de garder mon indépendance éditoriale.
đ CDI⊠âJuste pour voirâ
Ătant moi-mĂȘme en CDI aprĂšs ĂȘtre passĂ© par le freelancing, je me suis permis dâajouter les plus belles opportunitĂ©s salariĂ©es du moment.
Airbnb (10k+ employĂ©s) â Ătre garant de la qualitĂ© de la traduction vers la langue de MoliĂšre chez Airbnb, ça se considĂšre mĂȘme quand on est free | Offre
LiveMentor (20+ employĂ©s) â LâĂ©cole nouvelle gĂ©nĂ©ration des entrepreneurs recrute une plume avec un fort penchant Ă©dito| Offre
Station F (20+ employĂ©s) â Le plus grand campus de start-up au monde recherche son prochain Copywriter, rien que ça | Offre
Fretlink (90+ employĂ©s) â Le nouveau poids lourd du transport routier (câĂ©tait plus fort que moi !) veut passer Ă la vitesse supĂ©rieure avec un Content Manager | Offre
Qonto (150+ employĂ©s) â La nĂ©obanque des freelances et PME a un beau poste Ă pourvoir en Content et Social Media | Offre
đ DANS LE RADAR⊠Mes petits trĂ©sors
Et si toutes les rĂ©ponses Ă tous nos problĂšmes Ă©taient dĂ©jĂ sur Internet ? Câest mon mantra, et Ă chaque newsletter je compte vous montrer pourquoi. Voici donc ma petite sĂ©lection de ce qui mâa le plus marquĂ© rĂ©cemment et que jâestime digne de votre attention.
La rĂ©vĂ©lation : La galerie de templates Notion â ou comment dĂ©couvrir quâun software Ă lui-seul peut rĂ©organiser toute votre vie de A Ă Z. Selon moi le plus bel exemple de Content Marketing observĂ© ces derniĂšres annĂ©es.
Le challenger : âMore To Thatâ est lâincarnation de la cĂ©lĂšbre maxime de Picasso, âGood artists copy, great artists stealâ. Car une fois sur le blog, difficile de ne pas penser Ă son ainĂ© Wait But Why tant la ressemblance est frappante. Reste que le contenu est de qualitĂ©, donc Ă surveiller.
La rĂ©volution : DeepL est un si bon traducteur quâil me ferait presque peur. Si on vous a un jour reprochĂ© des tournures de phrases pas assez ânativeâ, alors ça pourrait trĂšs vite changer.
LâexpĂ©rience : Quand les principes du Burning Man passent Ă la moulinettes des sciences comportementales, ça donne un trĂšs bon article sur lequel mĂ©diter au quotidien.
Le génie : Vivement le Demo Day !

đŁ MEANWHILE⊠Lâactu des lecteurs
Valentin vient de terminer lâĂ©criture de son deuxiĂšme livre, ExpĂ©dition CrĂ©ative.
Julie écrit un article sur des surfeuses qui sont aussi danseuses au Crazy Horse.
Alexis vient de sortir le 22Úme épisode de son podcast Tribu Indé.
Marie a osé publier un article sur le copywriting et⊠Aya Nakamura.
Anne-Laure crée son premier cours en ligne (et ça demande beaucoup de travail).
Et vous⊠vous avez un projet de rentrĂ©e ? đ Envie de le partager ?
ET POUR FINIR⊠à vous de jouer !
Câest la fin de cette premiĂšre Ă©dition. JâespĂšre que vous avez aimĂ© la lecture, que vous avez trouvĂ© les offres allĂ©chantes, et aussi que vous allez trouver rapidement votre prochaine mission parmi les offres partagĂ©es. Pensez Ă me prĂ©venir dâailleurs. đ
Et si cette newsletter est un projet solo, jâai vraiment envie de la rendre aussi communautaire que possible. Pour cela, vous pouvez mâaider sans trop dâefforts :
đ© Si vous connaissez des passionnĂ©s dâĂ©criture, de lecture, des professionnels du contenu, des collĂšgues potentiellement intĂ©ressĂ©s ou simplement des amis qui voudraient se lancer, vous pouvez leur transfĂ©rer cet e-mail en un clic pour mâaider Ă faire grandir ce beau projet.
đ· Si vous avez envie de crier au monde entier que cette newsletter Ă©tait gĂ©niale (ou nulle), dites-le sur les rĂ©seaux sociaux pour avoir plus dâĂ©cho. Au passage, ne vous privez pas de me taguer sur Twitter ou LinkedIn.
đ Si vous avez envie de me faire un retour sur cette premiĂšre Ă©dition et/ou me partager vos attentes pour les suivantes, rĂ©pondez simplement Ă cet e-mail.
đĄ Enfin, si vous recevez des missions que vous ne pouvez pas accepter, dites-vous que ça peut intĂ©resser la communautĂ©. Donc nâhĂ©sitez pas Ă me les transfĂ©rer et je les relayerai (peut-ĂȘtre) dans la prochaine Ă©dition.
Merci Ă tous et Ă bientĂŽt,
Benjamin
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